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1.
J Can Chiropr Assoc ; 63(1): 26-35, 2019 Apr.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-31057175

RESUMEN

This is a secondary analysis of two previous systematic reviews demonstrating cephalad bias in using palpation to enumerate lumbopelvic levels, based on the conventional landmark rule that the spinal level of the palpated iliac crests=L4. Our study included 7 articles which enumerated lumbopelvic levels based on this rule, and furthermore reported data such that the direction and magnitude of errors could be abstracted from the article. The primary goal was to determine if enumeration accuracy would have improved had examiners known that the spinal level of palpated crests was closer to the L3-4 or L3 spinal level, as shown in our previous review. For the articles included, the mean error in spinal level enumeration diminished from 0.79 to -0.21 spinal levels, while accuracy increased from 26.3% to 46.9%. Since accuracy remained <50%, further refinements in iliac crest palpation are unlikely to improve enumeration accuracy, suggesting another method might best be sought.


Il s'agit d'une analyse secondaire de deux études méthodiques antérieures démontrant un biais céphalique dans l'utilisation de la palpation pour dénombrer les niveaux lombopelviens, basée sur la règle repère conventionnelle selon laquelle le niveau spinal des crêtes iliaques palpées est de L4. Notre étude comprenait sept articles qui énuméraient les niveaux lombopelviens basés sur cette règle, et qui, de plus, rapportaient des données telles que la direction et l'ampleur des erreurs. Ces éléments peuvent être extraits des articles. L'objectif principal était de déterminer si l'exactitude du dénombrement se serait améliorée si les examinateurs avaient su que le niveau spinal des crêtes palpées était plus près du niveau spinal L3­4 ou L3, comme nous l'avons démontré dans notre étude précédente. Pour les articles en question, l'erreur moyenne dans le dénombrement du niveau spinal a diminué de 0,79 à −0,21, tandis que la précision a augmenté de 26,3 % à 46,9 %. Étant donné que la précision est restée inférieure à 50 %, il est peu probable que d'autres améliorations dans la palpation de la crête iliaque augmentent la précision du dénombrement, ce qui suggère la recherche d'une autre méthode.

2.
J Can Chiropr Assoc ; 62(2): 85-97, 2018 Aug.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-30305764

RESUMEN

OBJECTIVE: The purpose of this study was to quantify the extent to which apparent movements of the posterior superior iliac spine and sacral base areas Gillet sacroiliac motion testing were related to (a) degree of hip flexion and (b) the examiner's palpatory pressure. METHODS: A preliminary exploratory study quantified relative PSIS/S2 displacements in 10 sacroiliac joints among 5 asymptomatic subjects at 10° increments of hip flexion from 0-90°. A comprehensive follow-up asymptomatic study quantified PSIS/S2 displacements at 0° vs. 30° vs. 90° hip flexion, and for light vs. firm pressure at 30° hip flexion. Displacements measured in pixels on digital photographs were transformed to mm. Mean differences for the various test conditions were evaluated for statistical significance using paired t-testing and Wilcoxon signed rank test. RESULTS: With light pressure, the left PSIS moved caudal for hip flexion ≤30° during right-legged stance, whereas the right PSIS moved cephalad relative to the sacral base. For hip flexion =90°, both PSISs moved cephalad. The use of firm palpatory pressure abolished the initial caudal movement of the left PSIS, as well as differences in the amount of cephalad PSIS movement at 30° vs. 90° hip flexion. CONCLUSIONS: The results are consistent with there being left-right differences in gluteus medius and biceps femoris activation among asymptomatic individuals that result in different balancing strategies during one-legged stance. This may create the appearance of relative PSIS/SB displacement, even though the results of Gillet testing can be wholly or partially explained by pelvic obliquity owing to muscle function asymmetry. This study questions the validity of the upright Gillet test for sacroiliac motion.


OBJECTIF: Cette étude visait à déterminer dans quelle mesure les déplacements de l'épine iliaque postéro-supérieure (EIPS) par rapport à la base sacrée durant le test de la mobilité sacro-iliaque de Gillet étaient reliés a) au degré de flexion de hanche et b) à la pression palpatoire exercée par l'examinateur. MÉTHODOLOGIE: Une étude exploratoire préliminaire avait consisté à mesurer les déplacements relatifs de l'EIPS par rapport à S2 dans 10 articulations sacroiliaques chez 5 sujets asymptomatiques, en augmentant progressivement par palier de 10 degrés la flexion de hanche, à partir de 0° jusqu'à 90°. Une étude de suivi chez des patients asymptomatiques a consisté à mesurer les déplacements de l'EIPS par rapport à S2 lorsque la flexion de hanche était de 0°, de 30° et de 90°, quand l'examinateur exerçait une pression légère et une pression forte et que la flexion de hanche était de 30°. Les déplacements exprimés en pixels sur des photographies numériques ont été convertis en millimètres. Les différences moyennes entre les diverses conditions du test ont été évaluées par tests t pour échantillons appariés et par test des rangs signés de Wilcoxon. RÉSULTATS: Quand l'examinateur exerçait une pression légère, l'EIPS gauche se déplaçait en direction caudale lorsque le patient se tenait sur la jambe droite et que la flexion de hanche était de ≤ 30°, alors que l'EIPS droite se déplaçait en direction céphalique par rapport à la base sacrée. Lorsque la flexion de hanche était de 90°, les deux EIPS se déplaçaient en direction céphalique. En exerçant une forte pression palpatoire, l'examinateur abolissait le déplacement initial en direction caudale de l'EIPS gauche de même que les différences de déplacement des EIPS en direction céphalique observées entre une flexion de hanche de 30° et une flexion de hanche de 90°. CONCLUSIONS: Les résultats sont compatibles avec les différences d'activation du muscle moyen fessier et du biceps fémoral gauche et droit observées chez des patients asymptomatiques et qui expliquent les différentes stratégies d'adaptation pour le maintien de l'équilibre en position debout sur une jambe. Il pourrait en résulter un semblant de déplacement relatif de l'EIPS par rapport à S2, même si les résultats du test de Gillet pourraient s'expliquer en tout ou en partie par l'inclinaison du bassin causée par l'asymétrie musculaire. La présente étude remet en question la validité du test de Gillet en position debout pour évaluer la mobilité sacro-iliaque.

3.
J Can Chiropr Assoc ; 61(2): 106-120, 2017 Aug.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: mdl-28928494

RESUMEN

OBJECTIVE: The purpose of this study was to undertake a systematic review of the literature to determine and compare, for patient sub-groups, the spinal level of the iliac crests as commonly measured through manual palpation and radiographic imaging procedures. METHODS: Relevant citations were retrieved by searching the PubMed, ICL, CINAHL, AMED, Osteopathic Research Web, OstMed, and MANTIS biomedical databases, and included articles were rated for quality. Search terms included Tuffier*, intercristal line, intercrestal line, Jacoby's line, lumbar spine, lumbar landmark, pelvic landmark, palpation, and TL (Tuffier's Line). Meta-analyses were performed on the full datasets as well as subsets based on various patient demographics. RESULTS: Original search strategies retrieved 1301 citations; 47 articles were used for qualitative synthesis and 31 for meta-analyses. Across these studies imaged crests were found to be most consistent with and closest to the L4-5 interspace in females and L4 spinous process in males. In comparison, the spinal level for the palpated crests was nearest to the L3-4 interspace in males and females. The palpated crest line was 0.7 levels cephalad to the imaged crest line in males, and 1.0 levels cephalad to the imaged line in females. DISCUSSION AND CONCLUSIONS: During manual palpation, the examiner's fingers contact soft tissue overlying the iliac crests, thereby usually identifying the L3-4 spinal level rather than the assumed L4-5 level. Palpating iliac crests to guide anesthetic injections or manual therapy without appreciating these findings can be hazardous or lead to suboptimal patient care.


OBJECTIF: Cette étude visait à entreprendre un examen systématique de la littérature dans le but de déterminer et de comparer, pour les sous-groupes de patients, le niveau rachidien des crêtes iliaques comme on le mesure souvent par palpation manuelle et imagerie radiographique. MÉTHODOLOGIE: On a tiré des citations pertinentes par le biais d'une recherche dans les bases de données médicales PubMed, ICL, CINAHL, AMED, Osteopathic Research Web, OstMed, et MANTIS, et les articles compris étaient cotés aux fins de qualité. Les termes de recherche comprenaient Tuffier*, ligne intercrête, ligne de Jacoby, colonne lombaire, repère lombaire, repère pelvien, palpation et LT (ligne de Tuffier). On a effectué des méta-analyses des ensembles de données complètes, ainsi que des sous-ensembles, fondées sur les diverses données démographiques sur les patients. RÉSULTATS: Les premières stratégies de recherche ont permis de tirer 1 301 citations; on a utilisé 47 articles aux fins de synthèse qualitative et 31 pour des méta-analyses. À l'échelle de ces études, les crêtes imagées étaient les plus conformes et proches de l'espace intercostal L4­5 des femmes et de l'apophyse épineuse L4 des hommes. Comparativement, le niveau rachidien des crêtes palpées était plus près de l'espace intercostal L3­4 des hommes et des femmes. La ligne de crête palpée était de niveau 0,7 vers la tête par rapport à la ligne de crête imagée des hommes et de niveau 1,0 vers la tête par rapport à la ligne imagée des femmes. DISCUSSION ET CONCLUSIONS: Lors de la palpation manuelle, les doigts de l'examinateur touchent aux tissus mous qui recouvrent les crêtes iliaques, ce qui, en général, détermine de ce fait le niveau rachidien L3­4 plutôt que le niveau L4­5 présumé. La palpation des crêtes iliaques visant à guider les injections anesthésiques ou la thérapie manuelle sans souscrire à ces constatations peut s'avérer dangereuse ou mener à des soins sous-optimaux aux patients.

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