Your browser doesn't support javascript.
loading
Sex Differences in Stress-Induced (Takotsubo) Cardiomyopathy.
Maskoun, Waddah; Alqam, Bilal; Habash, Fuad; Gheith, Zaid; Sawada, Stephen G; Vallurupalli, Srikanth.
Afiliación
  • Maskoun W; Division of Cardiology, Department of Medicine, Henry Ford Hospital, Detroit, Michigan, USA.
  • Alqam B; Department of Medicine, Presbyterian Hospital, Albuquerque, New Mexico, USA.
  • Habash F; Division of Cardiology, Baylor Heart and Vascular Hospital, Dallas, Texas, USA.
  • Gheith Z; Division of Cardiology, University of Texas Health Science Center at San Antonio, San Antonio, Texas, USA.
  • Sawada SG; Krannert Institute of Cardiology, Indiana University School of Medicine, Indianapolis, Indiana, USA.
  • Vallurupalli S; Division of Cardiology, Department of Medicine, University of Arkansas for Medical Sciences, Little Rock, Arkansas, USA.
CJC Open ; 5(2): 120-127, 2023 Feb.
Article en En | MEDLINE | ID: mdl-36880077
Contexte: La cardiomyopathie de Takotsubo (CT) touche majoritairement les femmes. Or, des études antérieures semblent indiquer que les hommes pourraient connaître de pires résultats à court terme, mais peu de données portent sur les résultats à long terme. Nous avons formulé l'hypothèse selon laquelle les hommes atteints de CT obtiennent de moins bons résultats à court et à long terme que les femmes qui en sont atteintes. Méthodologie: Nous avons réalisé une étude rétrospective auprès des patients qui étaient inscrits au système de soins de santé du département des Anciens Combattants des États-Unis et qui avaient reçu un diagnostic de CT entre 2005 et 2018. Les critères d'évaluations principaux étaient le taux de décès à l'hôpital, le risque d'AVC sur 30 jours, le taux de décès et le taux de mortalité à long terme. Résultats: Au total, 641 patients ont été inclus dans l'étude (444 hommes [69 %]; 197 femmes [31 %]). L'âge médian était plus élevé chez les hommes (65 c. 60 ans; p < 0,001), et les femmes étaient plus susceptibles de présenter des douleurs à la poitrine (68,7 % c. 44,1 %; p < 0,001). Les déclencheurs physiques étaient plus fréquents chez les hommes (68,7 % c. 44,1 %; p < 0,001). Le taux de mortalité des hommes à l'hôpital était plus élevé (8,1 % c. 1 %; p < 0,001). L'analyse par régression multivariée a permis de constater que le sexe féminin était un indicateur prévisionnel indépendant d'un taux de mortalité plus faible à l'hôpital (rapport des cotes : 0,25; intervalle de confiance [IC] à 95 % : 0,06 à 1,10; p = 0,04). Lors du suivi au jour 30, aucune différence n'a été notée dans les résultats combinés d'AVC et de décès (3,9 % c. 1,5 %; p = 0,12). Lors du suivi à long terme (3,7 ± 3,1 ans), le sexe féminin a été ciblé comme un indicateur prévisionnel d'un plus faible taux de mortalité (rapport de risques instantanés : 0,71; IC à 95 % : 0,51 à 0,97; p = 0,032). Enfin, les femmes étaient plus susceptibles de connaître une récurrence de la maladie (3,6 % c. 1,1 %; p = 0,04). Conclusions: Dans notre étude portant sur une population à prédominance masculine, les hommes atteints de CT ont obtenu des résultats à court et à long terme moins favorables que les femmes atteintes de ce syndrome.

Texto completo: 1 Colección: 01-internacional Base de datos: MEDLINE Tipo de estudio: Observational_studies / Prognostic_studies / Risk_factors_studies Idioma: En Revista: CJC Open Año: 2023 Tipo del documento: Article País de afiliación: Estados Unidos Pais de publicación: Estados Unidos

Texto completo: 1 Colección: 01-internacional Base de datos: MEDLINE Tipo de estudio: Observational_studies / Prognostic_studies / Risk_factors_studies Idioma: En Revista: CJC Open Año: 2023 Tipo del documento: Article País de afiliación: Estados Unidos Pais de publicación: Estados Unidos