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Associations of bedtime, sleep duration, and sleep quality with semen quality in males seeking fertility treatment: a preliminary study.
Hvidt, Julius Edward Miller; Knudsen, Ulla Breth; Zachariae, Robert; Ingerslev, Hans Jakob; Philipsen, Marie Tholstrup; Frederiksen, Yoon.
Afiliación
  • Hvidt JEM; 1Department of Clinical Medicine, Aarhus University, 8000 Aarhus, Denmark.
  • Knudsen UB; 1Department of Clinical Medicine, Aarhus University, 8000 Aarhus, Denmark.
  • Zachariae R; 2Horsens Fertility Clinic, Horsens Regional Hospital, 8700 Horsens, Denmark.
  • Ingerslev HJ; 3Department of Psychology and Behavioural Sciences, Aarhus University, 8000 Aarhus, Denmark.
  • Philipsen MT; 4Department of Oncology, Aarhus University Hospital, 8000 Aarhus, Denmark.
  • Frederiksen Y; 5Fertility Unit, Aalborg University Hospital, Søndre Skovvej 3, 9000 Aalborg, Denmark.
Basic Clin Androl ; 30: 5, 2020.
Article en En | MEDLINE | ID: mdl-32341784
CONTEXTE: Un mauvais sommeil a été associé à plusieurs issues néfastes pour la santé. De récentes études suggèrent que les heures de coucher tardives, des durées de sommeil courtes ou longues, et une mauvaise qualité de sommeil altèrent la qualité du sperme. Aucune étude n'a à ce jour exploré les trois facteurs en relation avec la qualité du sperme. RÉSULTATS: Cent quatre hommes et leurs partenaires traités dans trois cliniques de fertilité au Danemark entre 2010 et 2012 ont rempli un questionnaire correspondant à une version en ligne de l'Indice de Qualité du Sommeil de Pittsburg (IQSP). Les résultats des analyses de sperme réalisées dans les cliniques de fertilité ont été autodéclarés et classés comme normaux ou réduits.Une heure de coucher précoce (< 22 h30) était plus souvent associée à une qualité normale du sperme comparativement à la fois à une heure régulière (22 h30-23 h29) et à une heure tardive (≥23 h30) de coucher (OR: 2.75, 95% CI: 1.1­7.1, p = 0.04 et OR: 3.97, 95% CI: 1.2­13.5, p = 0.03). Une durée conventionnelle de sommeil (7.5­7.99 heures) était plus souvent associée à une qualité normale du sperme qu'une courte (7.0­7.49 heures) et qu'une très courte (< 7.0 heures) durée de sommeil (OR: 1.36, 95% CI: 1.2­12.9, p = 0.03 et OR: 6.18, 95% CI: 1.6­24.2, p = 0.01). Bien qu'une mauvaise qualité du sommeil ait été associée à une qualité réduite du sperme dans les statistiques descriptives (p = 0.04), aucune différence n'a été retrouvée entre une qualité du sommeil optimale (IQSP ≤6) et une qualité soit limite (IQSP 7­8) ou soit pauvre (IQSP ≥9) du sommeil (OR: 1.19, 95% CI: 0.4­3.4, p = 0.75 et OR: 2.43, 95% CI: 0.8­7.1, p = 0.11) dans les modèles de régression multivariée. CONCLUSIONS: Des heures de coucher précoces (< 22 h30) et une durée conventionnelle de sommeil (7.5­7.99 heures) ont été associées à une qualité normale autodéclarée du sperme. Un éventuel rôle de la qualité suggestive du sommeil reste incertain.
Palabras clave

Texto completo: 1 Colección: 01-internacional Base de datos: MEDLINE Tipo de estudio: Prognostic_studies / Risk_factors_studies Idioma: En Revista: Basic Clin Androl Año: 2020 Tipo del documento: Article País de afiliación: Dinamarca Pais de publicación: Reino Unido

Texto completo: 1 Colección: 01-internacional Base de datos: MEDLINE Tipo de estudio: Prognostic_studies / Risk_factors_studies Idioma: En Revista: Basic Clin Androl Año: 2020 Tipo del documento: Article País de afiliación: Dinamarca Pais de publicación: Reino Unido