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1.
Schweiz Arch Tierheilkd ; 163(9): 577-594, 2021 Sep.
Artículo en Alemán | MEDLINE | ID: mdl-34465561

RESUMEN

INTRODUCTION: Increased antimicrobial use (AMU) and poor animal health are common problems on Swiss veal farms. The creation of incentive systems could contribute to reduce AMU and to implement supportive management measures. Voluntary government-funded programs could be an option. Therefore, the present study developed four hypothetical programs, which differed in their approach and funded measures. Depending on the program, the objective of reducing AMU should be achieved either by promotion of farm specific advice from the Swiss calf health service, benchmarking the antibiotic use, promotion of health measures on the source dairy (farm of birth) or by promoting veal calf fattening on the source dairy instead of selling calf to fattening operations. A survey using the contingent evaluation method evaluated the willingness of farm manager to participate in these programs. A total of 135 veal farm managers filled in the questionnaire, of which 131 were managers of family-run small scale veal fattening farms. In addition, 309 managers of dairy farms where no veal was produced participated in the study. These farms served as source dairies and sold excess calves for subsequent fattening mostly at the age of three to five weeks. Participation was moderate to good depending on the program. Approximately 30% of farm managers would participate in the program with farm specific advice from the Swiss calf health service and with benchmarking of AMU, 35% in the promotion of veal calf fattening on the source dairy, and 60% in health measures on the source dairy. Probability of participation in the program with farm specific advice and in health measures on source dairies can be influenced by the amount of the extra pay. The main reasons for which managers would not want to participate were having reservations about the need to improve animal health on the own farm, a lack of space and time, as well as concerns about increased administrative work. The study can be a starting point for the development of voluntary programs to reduce AMU on farms, in particular on source dairies and veal calf fattening farms. The results of this study may allow of estimation of the percentage of farm managers to participate in voluntary programs, thus addressing an optimal number of farms.


INTRODUCTION: L'utilisation élevée d'antibiotiques et la mauvaise santé des animaux sont des problèmes courants dans les élevages de veaux en Suisse. Une solution pourrait être la création de systèmes incitatifs visant à promouvoir la réduction de l'utilisation d'antibiotiques et la mise en place de mesures de gestion ciblées. Cela pourrait prendre la forme de programmes volontaires financés par le gouvernement. À cette fin, quatre programmes hypothétiques ont été développés dans la présente étude, lesquels diffèrent par leur approche et les mesures financées. Selon les programmes, l'objectif de «réduction des antibiotiques¼ doit être atteint soit par la promotion des conseils spécifiques à l'exploitation par le Service de santé des veaux, l'évaluation comparative de l'utilisation des antibiotiques, les mesures sanitaires dans les exploitations de naissance des veaux ou la promotion de l'engraissement sur l'exploitation de naissance. La volonté des exploitants de participer à ces programmes a été évaluée au moyen d'une enquête utilisant la méthode d'évaluation contingente. Cent trente-cinq responsables d'exploitations d'engraissement de veaux y ont répondu, dont 131 exploitations d'engraissement de veaux fermiers. De plus, 309 gestionnaires d'exploitations laitières qui n'engraissent aucun veau mais qui vendent pour l'engraissement des veaux excédentaires nés sur la ferme, principalement à l'âge de trois à cinq semaines, ont participé. Selon le programme, les résultats montrent une volonté modérée à bonne de participer. Environ 30% des exploitants participeraient au programme avec des conseils spécifiques à l'entreprise et au programme avec une évaluation comparative de l'utilisation des antibiotiques, environ 35% au programme d'engraissement à la ferme de naissance et environ 60% aux mesures à la ferme de naissance. La probabilité de participation au programme avec conseils spécifiques à l'entreprise et aux mesures sur la ferme d'origine peut être influencée par le montant de la prime. Les principales raisons de ne pas participer sont les réserves sur la nécessité de prendre des mesures dans la propre entreprise, le manque d'espace et de temps et les inquiétudes concernant l'augmentation des efforts administratifs. Les résultats de l'étude peuvent servir de base pour le développement de programmes volontaires de réduction de l'utilisation des antibiotiques chez les veaux d'engraissement, en particulier pour les fermes de naissance et les exploitations d'engraissement. Grâce aux estimations de la volonté de participer, des informations sont disponibles à l'avance sur la manière dont les programmes devraient être conçus pour atteindre un maximum d'exploitations.


Asunto(s)
Antiinfecciosos , Enfermedades de los Bovinos , Carne Roja , Crianza de Animales Domésticos , Bienestar del Animal , Animales , Antibacterianos , Bovinos , Enfermedades de los Bovinos/prevención & control , Granjas , Motivación
2.
Schweiz Arch Tierheilkd ; 162(7): 471-480, 2020 Jul.
Artículo en Alemán | MEDLINE | ID: mdl-32618570

RESUMEN

INTRODUCTION: The use of antibiotics in Swiss veal production is considered an established method for controlling bacterial infectious diseases. Although the veterinary profession aims to ensure animal welfare, the veterinary business income needs to be ensured at the same time. Against the background of increasing problems with resistant pathogens in human and veterinary medicine, the use of antibiotics should be significantly reduced and used more selectively. The associated economic consequences for food animal practitioners are unknown. The aim of this study was to determine the economic importance of antibiotic sale volume for private food animal practitioners in veal production. An anonymized questionnaire was sent to 120 mixed veterinary practices in Switzerland, which offered services to veal and beef cattle farmers. Questions involved the pharmaceutical sale volume, details on veterinary invoices from three farms with average, below and above average animal health throughout 2017. Twenty-nine complete questionnaires (response rate: 24.2%) and veterinary invoices of 84 farms were returned. The study is not representative, but it allows a rough assessment of the economic framework in Swiss livestock practice. The majority of the total turnover with livestock farms was generated by the sale of antibiotics (54%). Antibiotic sales per animal were higher as expected in farms with a below-average animal health than in farms with an average or above-average animal health. Consulting services turnover contributed only 0.5% to the total sale volume in veal farming. The results document, that antibiotic reduction measurements in veal and beef production will have economic consequences for veterinary livestock practices. In the medium term, the profitable existence of livestock veterinary practice requires a change to cost based consulting services.


INTRODUCTION: En Suisse, dans le cadre de la pratique de l'engraissement des veaux, l'utilisation d'antibiotiques est principalement considérée comme une méthode éprouvée pour lutter contre les maladies infectieuses bactériennes. L'activité vétérinaire vise à prévenir ou minimiser les souffrances chez les animaux. Mais pour autant, les vétérinaires restent des entrepreneurs qui doivent assurer un revenu adéquat de leur pratique. Dans un contexte de problèmes croissants rencontrés avec les agents pathogènes résistants en médecine humaine et vétérinaire, l'utilisation d'antibiotiques devrait être considérablement réduite et ciblée. Les conséquences économiques associées pour la pratique vétérinaire rurale sont peu connues. Le but de la présente étude était de déterminer l'importance économique des ventes d'antibiotiques pour les pratiques vétérinaires rurales privées en utilisant l'exemple de l'engraissement des veaux. À cet effet, un questionnaire anonymisé a été envoyé à 120 cabinets vétérinaires mixtes en Suisse, qui s'occupent entre autres d'exploitations d'engraissement de veaux, de broutards et de taurillons. Les participants ont été interrogés sur le niveau des ventes de médicaments. En outre, nous les avons invités à envoyer des factures vétérinaires concernant trois entreprises d'engraissement avec un niveau de santé animale inférieur, égal et supérieur à la moyenne tout au long de l'année 2017. Vingt-neuf questionnaires complets (taux de réponse: 24,2%) ainsi que des factures vétérinaires concernant au total 84 exploitations d'engraissement de veaux, de broutards ou de taurillons nous ont été retournés. L'étude n'est certes pas représentative, mais elle permet une évaluation approximative du cadre économique des pratiques rurales en Suisse. La majorité du chiffre d'affaires total sur les exploitations d'engraissement de veaux, de broutards ou taurillons a été générée par la vente d'antibiotiques (54%). Il apparait que les ventes d'antibiotiques étaient plus élevées dans les exploitations où la santé animale était inférieure à la moyenne que dans les établissements où elle était supérieure ou égale à la moyenne. Le chiffre d'affaires des prestations de conseil ne représentait que 0,5% du chiffre d'affaires total dans le domaine des veaux. Ces résultats montrent que les mesures visant à réduire les antibiotiques dans les conditions actuelles de production de veau et de boeuf auront probablement des conséquences économiques non négligeables sur la part des exploitations d'engraissement dans les revenus des pratiques vétérinaire rurales. A moyen terme, afin d'assurer la rentabilité d'une pratique rurale, une nouvelle orientation de l'activité vétérinaire sera nécessaire: la mise en place d'un service de conseils payants pour les exploitations d'engraissement, ayant pour but l'établissement de concepts de prévention.


Asunto(s)
Crianza de Animales Domésticos/economía , Crianza de Animales Domésticos/métodos , Antibacterianos/economía , Carne Roja , Crianza de Animales Domésticos/normas , Animales , Bovinos , Carne Roja/economía , Carne Roja/normas , Suiza
3.
Schweiz Arch Tierheilkd ; 161(3): 153-163, 2019 Mar.
Artículo en Alemán | MEDLINE | ID: mdl-30843522

RESUMEN

INTRODUCTION: The transfer of piglets is associated with stress for the transported animals. In addition, animal transports are a risk factor for the spread of pathogenic and antibiotic-resistant bacteria and for the introduction of diseases into the herd. In the present study, 101 randomly selected transports of piglets were accompanied from the breeding facility to the pig farm. Parameters related to animal health, animal welfare and biosecurity were assessed. Transported piglets showed signs of abscesses, hernias or cannibalism in 30% and diarrhea or cough in 15% of the cases. The proportion of animals with injuries from conflicts were higher after (15%) than before transport (8%). Suboptimal conditions in regard to density, temperature and lighting were found in 19%, 55% and 36% of the transports. Vehicles were cleaned and disinfected only in 55% of transports before arriving at the breeding facility. Thirty percent of the vehicles were soiled and 20% had already loaded piglets when arriving at the sending facility. Vehicles were neither cleaned nor disinfected in 83% between two piglet transports. Overall, there was a great potential for improvement in animal loading and risk of disease transmission in the investigated piglet transports.


INTRODUCTION: Les transports sont associés à du stress pour les animaux. Ils sont en outre un facteur de risque pour la dissémination de germes pathogènes et antibio-résistants ainsi que pour l'introduction de maladies dans les effectifs d'animaux. Pour la présente étude, on a accompagné 101 transports de porcelets choisis au hasard depuis l'exploitation de production jusqu'à celle d'engraissement. A cette occasion, des paramètres relatifs à la santé des animaux, à leur bien-être et à la biosécurité ont été jugés. Dans environ 30% des cas, des porcelets présentant des abcès, des hernies ou des signes de cannibalisme ont été transportés et dans 15% des cas des animaux souffrant de diarrhée ou de toux. La proportion d'animaux présentant des traces de bagarres était plus élevée de 15% après le transport qu'avant (8%). En ce qui concerne le taux d'occupation, la température et l'éclairage, des carences ont été constatées dans respectivement 19%, 55% et 36% des transports. Les véhicules n'avaient été nettoyés et désinfectés avant leur arrivée dans l'exploitation de production que dans 55% des cas. Trente pour cent des véhicules étaient souillés par des excréments et 20% transportaient déjà des porcelets à leur arrivée sur l'exploitation. Lors de 83% des transports, les véhicules n'ont été ni nettoyés ni désinfectés entre deux transports de porcelets. Il existe un grand potentiel d'amélioration dans les transports de porcelets que nous avons accompagnés, que ce soit du point de vue de l'exposition des animaux au stress ou de la dissémination potentielle de germes.


Asunto(s)
Crianza de Animales Domésticos/estadística & datos numéricos , Bienestar del Animal/estadística & datos numéricos , Porcinos , Transportes/estadística & datos numéricos , Transportes/normas , Crianza de Animales Domésticos/normas , Bienestar del Animal/normas , Animales , Desinfección/estadística & datos numéricos , Porcinos/lesiones , Enfermedades de los Porcinos/prevención & control , Suiza
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