RESUMEN
INTRODUCTION: Although very crucial in medicine, mastery of cardiopulmonary resuscitation remains poor in many low and-medium income countries (LMICs) due mainly to the lack of readily accessible training facilities and expertise. SUBJECTS AND METHODS: The current study was aimed at evaluating the knowledge of Basic Life Support (BLS) among senior-level medical students and doctors in Nigeria, as well as to evaluate the value of a video teaching method in improving the knowledge base of BLS. It was a two-cohort prospective study carried out over a duration of one month. Each group of participants had an initial assessment of their knowledge of Basic Life Support using a questionnaire. Thereafter, the 45-minute CHEMPIONS-BLS video was projected. On completion of the video session, the same questionnaire was again administered to each group of participants. This was followed by a practical, hands-on workshop at the skills laboratory. Data was collected using the questionnaires and comparisons were made between the pre and post-test responses. RESULTS: Seventy-five medical students and 41 doctors were enrolled into this study. Overall, their knowledge of BLS and their exposure to previous BLS training were poor, but there was a significant improvement in the mean scores, and the overall performance after viewing the video just one time; t = 27.30, p = .000 and χ² = 116.01; p = .000 respectively. CONCLUSION: This study reveals poor knowledge and exposure to basic life support training among both medical students and practicing doctors. It further reveals the value of a novel training method in improving BLS knowledge.
INTRODUCTION: Bien que cruciale en médecine, la maîtrise de la réanimation cardio-pulmonaire reste faible dans de nombreux pays à revenu faible et moyen (PRFM), principalement en raison du manque d'infrastructures de formation et d'expertise facilement accessibles. SUJETS ET MÉTHODES: La présente étude visait à évaluer les connaissances en matière de réanimation cardio-pulmonaire de base (Basic Life Support - BLS) parmi les étudiants en médecine et les médecins au Nigeria, ainsi qu'à évaluer la valeur d'une méthode d'enseignement par vidéo pour améliorer la base de connaissances en BLS. Il s'agissait d'une étude prospective à deux cohortes menée sur une durée d'un mois. Chaque groupe de participants a fait l'objet d'une évaluation initiale de ses connaissances en matière de réanimation cardio-pulmonaire à l'aide d'un questionnaire. Ensuite, la vidéo CHEMPIONS-BLS de 45 minutes a été projetée. À l'issue de la séance vidéo, le même questionnaire a été administré à chaque groupe de participants. Cette séance a été suivie d'un atelier pratique au laboratoire de compétences. Les données ont été collectées à l'aide des questionnaires et des comparaisons ont été faites entre les réponses avant et après le test. RÉSULTATS: Soixante-quinze étudiants en médecine et 41 médecins ont participé à cette étude. Dans l'ensemble, leur connaissance du BLS et leur exposition à une formation BLS antérieure étaient faibles, mais il y a eu une amélioration significative des scores moyens et de la performance globale après avoir visionné la vidéo une seule fois ; t = 27,30, p = .000 et χ² = 116,01 ; p = .000 respectivement. CONCLUSION: Cette étude révèle que les étudiants en médecine et les médecins en exercice ont une connaissance et une exposition insuffisantes à la formation aux soins de base en réanimation. Elle révèle également l'intérêt d'une nouvelle méthode de formation pour améliorer les connaissances en matière de BLS. Mots clés: Soins de base en réanimation (BLS), Réanimation cardiopulmonaire (RCP), Éducation médicale, Arrêt cardiaque extrahospitalier (OHCA), Formation post-COVID, Formation médicale continue (FMC), Hôpital universitaire spécialisé d'Irrua (ISTH), Le Nigeria.
Asunto(s)
Reanimación Cardiopulmonar , Educación Médica , Estudiantes de Medicina , Humanos , Estudios Prospectivos , Centros de Atención Terciaria , Reanimación Cardiopulmonar/educaciónRESUMEN
INTRODUCTION: The medicolegal auditing of the pattern of death among detainees in police and prison custody is a useful tool in planning for quality care to be given to detainees, who do not have access to stable health care as seen in the free world. AIM: To retrospectively study the peculiarities of custodial deaths (CD), among individuals detained in police and prison custody in Uyo, South-Soth Nigeria and to suggest preventive measures. MATERIALS AND METHODS: This is a review of all the post mortem examinations (PME) that were performed on detainees that died in police or prison custody over 4 years. RESULTS: They were 9 detainees aged between 22-44 years with an average age of 31.1 years. All the detainees were males. Six (66.7%) persons died in police custody, while 2 (22.2%) died in prison custody and 1 (11.1%) person died in police clinic. The shortest duration of detention before death was 1 day (24 hours) and the longest 80 days. Marks of torture were seen in 2 (22.2%) cases. The cause of death was seen in 8 (88.9%) cases. In 1 (11.1%) no anatomic pathologic cause of death was seen. The manner of death was natural in 4 (44.4%), homicide 3 (33.3%), accidental 1 (11.1%) and undetermined 1 (11.1%). The 4 natural causes of death were 2 cases of hypertensive cardiovascular disease, a case of myocardial infarction and a case of alcoholic hepatitis. The cause of death in all the homicidal and accidental cases were massive intracranial bleeding. CONCLUSION: Natural death is the most common manner of death among detainees in Uyo.
INTRODUCTION: L'audit médico-légal des décès parmi les détenus en garde à vue et en détention est un outil utile pour planifier des soins de qualité à prodiguer aux détenus, qui n'ont pas accès à des soins de santé stables comme on le voit dans le monde libre. OBJECTIF: Étudier rétrospectivement les particularités des décès en détention (DC) chez les personnes détenues en garde à vue et en prison à Uyo, dans le sud-sud du Nigeria et proposer des mesures préventives. MATÉRIEL ET MÉTHODES: Il s'agit d'un examen de tous les examens post mortem (EPM) qui ont été effectués sur des détenus décédés en garde à vue ou en prison pendant 4 ans. RÉSULTATS: Il s'agissait de 9 détenus âgés de 22 à 44 ans avec une moyenne d'âge de 31,1 ans. Tous les détenus étaient des hommes. Six (66,7 %) personnes sont décédées en garde à vue, tandis que 2 (22,2 %) sont décédées en garde à vue et 1 (11,1 %) personne est décédée en clinique de police. La durée de détention la plus courte avant le décès était de 1 jour (24 heures) et la plus longue de 80 jours. Des traces de torture ont été observées dans 2 cas (22,2 %). La cause du décès a été retrouvée dans 8 (88,9%) cas. Dans 1 (11,1%) aucune cause anatomique de décès n'a été observée. Le mode de décès était naturel dans 4 (44,4 %), homicide 3 (33,3 %), accidentel 1 (11,1%) et indéterminé 1 (11,1 %). Les 4 causes naturelles de décès étaient 2 cas de maladie cardiovasculaire hypertensive, un cas d'infarctus du myocarde et un cas d'hépatite alcoolique. La cause du décès dans tous les cas homicides et accidentels était une hémorragie intracrânienne massive. CONCLUSION: La mort naturelle est le mode de décès le plus courant parmi les détenus d'Uyo. MOTS-CLÉS: Décès en détention, Examen post mortem, Détenus, Uyo.