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INTRODUCTION: Metabolic syndrome (MetS) and hypothyroidism are well-established forerunners of atherogenic cardiovascular disease (CVD). It is possible that patients suffering from both these disease entities may have a compounded risk. This study aimed at determining the prevalence of hypothyroidism in MetS. MATERIALS AND METHODS: This cross-sectional study was conducted from September 2017 to August 2018 in the department of medicine at a tertiary care hospital in Northern India. Ethical approval was obtained from the institutional ethical committee. The study subjects consisted of 157 patients with MetS, the diagnosis of which was based on the International Diabetes Federation criteria. After a detailed history and physical examination, relevant investigations including complete thyroid profile were done. The data were analyzed using appropriate statistical tests (P < 0.05). RESULTS: In our study, the age of subjects ranged between 14 and 92 years, with a mean ± standard deviation of 48.1 ± 17.01 years. There were more females than males with a male-to-female ratio of 1:1.3. The prevalence of hypothyroidism was 46.5%. Hypothyroidism was more common in females (58.9%) as compared to males (41.1%). Patients with hypothyroidism had significantly higher body weight and body mass index (BMI) in comparison to euthyroid patients. The rest of the anthropometric parameters were comparable. Waist circumference and BMI of overt hypothyroid patients were found to be higher as compared to subclinical hypothyroid patients. Total cholesterol and triglyceride were significantly higher (P = 0.001 and P < 0.001, respectively), while high-density lipoprotein levels were significantly lower in patients with hypothyroidism than the euthyroid group (P < 0.001). CONCLUSION: Hypothyroidism, especially subclinical hypothyroidism, is a common endocrine disorder in patients with MetS. As MetS and hypothyroidism are independent risk factors for CVD, hence there is a need for screening for hypothyroidism and the treatment of the same can be beneficial in reducing the cardiovascular morbidity and mortality in patients with MetS.

Résumé Introduction:Le syndrome métabolique (METS) et l'hypothyroïdie sont des précurseurs bien établis d'une maladie cardiovasculaire athérogène (MCV). Il est possible que les patients souffrant de ces deux entités maladie puissent avoir un risque composé. Cette étude visait à déterminer la prévalence de l'hypothyroïdie dans les Mets.Matériaux et méthodes:Cette étude transversale a été menée de septembre 2017 à août 2018 dans le Département de médecine dans un hôpital de soins tertiaires du nord de l'Inde. L'approbation éthique a été obtenue auprès du Comité éthique institutionnel. Les sujets de l'étude étaient composés de 157 patients atteints de MetS, dont le diagnostic était basé sur les critères internationaux de la Fédération du diabète. Après un historique détaillé et un examen physique, des enquêtes pertinentes, y compris un profil thyroïdien complet, ont été effectuées. Les données ont été analysées en utilisant des tests statistiques appropriés (P <0,05).Résultats:Dans notre étude, l'âge des sujets variait entre 14 et 92 ans, avec une moyenne ± standard déviation de 48,1 ± 17,01 ans. Il y avait plus de femelles que les hommes avec un rapport masculin à féminin de 1: 1,3. La prévalence de l'hypothyroïdie était de 46,5%. L'hypothyroïdie était plus fréquente chez les femmes (58,9%) par rapport aux hommes (41,1%). Les patients atteints d'hypothyroïdie avaient Indice de poids corporel et de masse corporelle significativement plus élevé (IMC) par rapport aux patients euthyroïdiens. Le reste des paramètres anthropométriques étaient comparables. Le tour de taille et l'IMC des patients hypothyroïdiens manifestes se sont révélés plus élevés par rapport à l'hypothyroïde subclinique patients. Le cholestérol total et les triglycérides étaient significativement plus élevés (P = 0,001 et P <0,001, respectivement), tandis que les lipoprotéines à haute densité Les niveaux étaient significativement plus faibles chez les patients atteints d'hypothyroïdie que le groupe euthyroïdien (P <0,001).Conclusion:hypothyroïdie, en particulier L'hypothyroïdie subclinique est un trouble endocrinien commun chez les patients atteints de Metts. Comme les Mets et l'hypothyroïdie sont des facteurs de risque indépendants Pour les MCV, il y a donc un besoin de dépistage pour l'hypothyroïdie et le traitement de la même chose peut être bénéfique pour réduire le cardiovasculaire morbidité et mortalité chez les patients atteints de MetS.

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BACKGROUND: The metabolic syndrome (MetS), a cluster of cardiovascular risk factors, is associated with obstructive sleep apnea (OSA). OSA is a major contributor to cardiac, cerebrovascular, and metabolic disorders as well as to premature death. MATERIALS AND METHODS: This cross-sectional study was done for 1 year in 103 patients of MetS diagnosed by the International Diabetes Federation criteria. All patients were subjected to the STOP-Bang questionnaire, and they were classified into low, intermediate, and high risks depending on the score. Patients falling in intermediate-high risk (score 3-8) were taken for overnight polysomnography to confirm the diagnosis of OSA (apnea-hypopnea index [AHI] ≥5) and were considered Group I. Patients with STOP-Bang score ≤2 or score ≥3 with AHI <5 were considered Group II (non-OSA). RESULTS: Out of 103 MetS patients enrolled in the study, only 70 (68.0%) were diagnosed with OSA, so the prevalence of OSA in MetS patients was 68%. The majority of the OSA cases had moderate-to-severe OSA (68.5%), and only 31.4% had mild OSA. The age of patients enrolled in the study ranged between 29 and 78 years, and the mean age of patients was 54.8 ± 9.4 years. Out of 103 MetS enrolled in the study, 59 (57.3%) were male and the rest were female, so the prevalence of severe OSA was higher in males than in females. The prevalence increases with an increase in age groups. Weight, body mass index (BMI), circumference, and waist circumference (WC) of cases of OSA were found to be significantly higher as compared to that of non-OSA. An incremental trend of increase in weight, BMI, neck circumference, and WC was observed with the increase in the severity of OSA. Patients of OSA as compared to non-OSA had significantly increased WC, blood pressure (BP), fasting, postprandial, random blood sugar, and triglyceride (TG) levels. A trend of increase in WC, BP fasting, postprandial, random blood sugar, and TG levels was associated with an increase in the severity of OSA. Snoring and daytime sleepiness were observed in a significantly higher proportion of OSA cases as compared to non-OSA cases. CONCLUSIONS: This study shows that OSA has a high prevalence in subjects with MetS. A high index of clinical suspicion is required for early diagnosis.

Résumé Contexte:Le syndrome métabolique (MetS), un ensemble de facteurs de risque cardiovasculaire, est associé à l'apnée obstructive du sommeil (AOS). L'AOS est un contributeur majeur aux troubles cardiaques, cérébrovasculaires et métaboliques ainsi qu'aux décès prématurés.Matériels et méthodes:ce Une étude transversale a été réalisée pendant 1 an chez 103 patients atteints de MetS diagnostiqués selon les critères de la Fédération internationale du diabète. Tous les patients étaient soumis au questionnaire STOP-Bang, et ils ont été classés en risques faibles, intermédiaires et élevés en fonction du score. Patients présentant un risque intermédiaire-élevé (score 3 à 8) ont été soumis à une polysomnographie nocturne pour confirmer le diagnostic d'AOS (apnée-hypopnée). [AHI] ≥5) et ont été considérés comme le groupe I. Les patients avec un score STOP-Bang ≤2 ou un score ≥3 avec un AHI <5 ont été considérés comme le groupe II (non-AOS).Résultats:Sur 103 patients atteints du MetS inclus dans l'étude, seuls 70 (68,0 %) ont reçu un diagnostic d'AOS, d'où la prévalence de l'AOS dans le MetS. les patients étaient de 68%. La majorité des cas d'AOS présentaient une AOS modérée à sévère (68,5 %), et seulement 31,4 % présentaient une AOS légère. L'âge des patients les patients inscrits à l'étude étaient âgés de 29 à 78 ans et l'âge moyen des patients était de 54,8 ± 9,4 ans. Sur 103 MetS inscrits au Dans l'étude, 59 (57,3 %) étaient des hommes et les autres étaient des femmes, de sorte que la prévalence de l'AOS sévère était plus élevée chez les hommes que chez les femmes. La prévalence augmente avec l'augmentation des tranches d'âge. Le poids, l'indice de masse corporelle (IMC), la circonférence et le tour de taille (WC) des cas d'AOS ont été s'avère significativement plus élevé que celui des personnes non atteintes d'AOS. Une tendance progressive à l'augmentation du poids, de l'IMC, de la circonférence du cou et Le WC a été observé avec l'augmentation de la gravité de l'AOS. Les patients atteints d'AOS par rapport aux patients non atteints d'AOS présentaient une augmentation significative du WC, du sang pression artérielle (TA), niveaux de glycémie à jeun, postprandiaux, aléatoires et de triglycérides (TG). Une tendance à l'augmentation des WC, de la TA à jeun, postprandiale, la glycémie aléatoire et les taux de TG étaient associés à une augmentation de la gravité de l'AOS. Des ronflements et une somnolence diurne ont été observés chez une proportion significativement plus élevée de cas d'AOS par rapport aux cas non AOS.Conclusions:Cette étude montre que l'AOS a une prévalence élevée chez les sujets atteints de MetS. Un indice élevé de suspicion clinique est nécessaire pour un diagnostic précoce.

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Introduction: Acute exacerbation of chronic obstructive pulmonary disease (COPD), frequently due to respiratory tract infection is the major cause of morbidity and mortality, and estimate suggests that it is currently the third leading cause of death worldwide. Aims and Objectives: This study aims to study the prevalence of nontubercular bacterial and fungal infections in patients of COPD. Materials and Methods: It is an observational study done for 1-year period from August 2017 to July 2018. A total of 100 COPD patients who fulfilled the inclusion and exclusion criteria were analyzed in the present study. These cases were classified according to the Global Initiative for Chronic Obstructive Lung Disease (GOLD) combined assessment criteria and subjected to sputum or in some cases Bronchoalveolar lavage (BAL) fluid examination for nontubercular bacterial and fungal pathogens. Serum galactomannan assay, bronchoscopy, and computed tomography chest were done in selected cases. Results: The age of the study population ranged from 40 to 85 years and the mean age was 60.01 ± 9.85 years. Majority of the patients were male (81.0%) and most (78.0%) of them were smokers. Most of the patients belonged to GOLD Grades 2 and 3. Forty-six percent of the patients did show pathogenic organisms in sputum examination. Out of these, 80.4% were bacterial, mainly Gram-negative organisms (Acinetobacter, Pseudomonas, Escherichia coli, Enterobacter, Proteus, and Citrobacter) and 19.6% of cases were having fungal infections (Candida and Aspergillus). Conclusions: Increasing patient age, smoking habit, and severity of COPD were related to an increasing frequency of bacterial and fungal infections. Early detection and proper treatment could help in preventing the morbidity and mortality related to COPD.

Résumé Introduction: L'exacerbation aiguë de la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), souvent en raison de l'infection des voies respiratoires, est la principale cause de morbidité et de mortalité, et l'estimation suggère qu'il s'agit actuellement de la troisième cause de décès dans le monde. Objectifs et objectifs: Cette étude vise à étudier la prévalence des infections bactériennes et fongiques non tubulaires chez les patients de la MPOC. Matériaux et méthodes: Il s'agit d'une étude d'observation réalisée pour une période de 1 an d'août 2017 à juillet 2018. Un total de 100 patients atteints de MPOC qui remplissaient les critères d'inclusion et d'exclusion ont été analysés dans la présente étude. Ces cas ont été classés selon l'initiative globale des critères d'évaluation combinés chroniques obstructifs (OR) et soumis à des expectorations ou dans certains cas examen des liquides de lavage bronchoalvéolaire (BAL) pour les agents pathogènes bactéries et fongiques non tubulaires. Le test de galactomannane sérique, la bronchoscopie et le poitrine de tomodensitométrie ont été effectués dans certains cas. Résultats: L'âge de la population d'étude variait de 40 à 85 ans et l'âge moyen était de 60,01 ± 9,85 ans. La majorité des patients étaient des hommes (81,0%) et la plupart (78,0%) d'entre eux étaient des fumeurs. La plupart des patients appartenaient à GOLD GRADES 2 et 3. Quarante-six pour cent des patients ont montré des organismes pathogènes à l'examen des expectorations. Parmi ceux-ci, 80,4% étaient des organismes bactériens, principalement à Gram - négatifs (Acinetobacter, Pseudomonas, Escherichia coli, Enterobacter, Proteus et Citrobacter) et 19,6% des cas avaient des infections fongiques (Candida et 23 aspergillus). Conclusions: L'âge croissant du patient, l'habitude du tabagisme et la gravité de la MPOC étaient liés à une fréquence croissante des infections bactériennes et fongiques. La détection précoce et le traitement approprié pourraient aider à prévenir la morbidité et la mortalité liées à la MPOC. Mots-clés: Maladie pulmonaire obstructive chronique, infection fongique, initiative mondiale pour la maladie pulmonaire obstructive chronique, infection bactérienne non tuberculeuse.

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Introduction: Human immunodeficiency virus (HIV)-associated neurocognitive disorders (HAND) comprise impairment of multiple cognitive domains and cause significant morbidity. International HIV Dementia Scale (IHDS) is a quite sensitive and specific method for screening for HAND, and Modified Mini-Mental State Examination (3MS), though nonspecific, contains more parameters for screening for neurocognition. Hence, we compared 3MS and IHDS as screening tools for HAND with an aim to find out which was a better screening tool for HAND. Methods: Using 3MS and IHDS, we assessed the cognitive status of 200 HIV-positive patients (65% males) and 84 controls, presenting to the Department of Medicine, King George's Medical University, Lucknow, India from September 2015 to September 2019. Results: According to 3MS, 42 (21%) HIV-positive patients were neurocognitively impaired (mean 76.24 ± 1.51), and 158 (79%) patients were not (mean 87.02 ± 4.16). As per IHDS, 185 (92.5%) HIV patients were neurocognitively impaired (mean 8.45 ± 0.88), and 15 (7.5%) patients were not (mean 11.13 ± 0.35). The mean 3MS score of controls was 87.56 ± 4.26, and the IHDS score was 9.73 ± 1.00. According to Patient Health Questionnaire-9 (PHQ-9), moderate depression occurred in only 3.5% of the patients, and the rest had only minimal or mild depression. In IHDS, psychomotor speed was the most affected parameter, whereas in 3MS, similarities were the most affected. Conclusion: IHDS may be over diagnosing neurocognitive impairment in HIV patients due to difficulty in understanding the test, especially psychomotor speed testing. 3MS may be more accurate for detecting neurocognitive impairment in HIV patients, and scale combining both these methods may be a still better choice.

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INTRODUCTION: HIV Associated Neurocognitive Disorder (HAND) is still prevalent even in the ART (Anti-Retroviral Therapy) era. It may have some association with CD4 counts and Anti-Retroviral Therapy. The prevalence of HAND in HIV-patients, was, therefore studied in the context of ART and CD4 counts. METHODS: Modified Mini Mental State Examination scores of 200 (65% males) HIV-positive patients and 200 controls were analyzed in the context of ART and CD4 counts. RESULTS: Maximum number of participants were educated between 8th-12th class (89.5%), aged between 25-50 years (81.5%) and a higher proportion of males had a CD4 count <500 (69.2%) (p=0.007). Using 3MS, 21% patients (mean 76.24±1.51) and none of the controls were found to be neurocognitively impaired. Mean scores of patients with CD4 counts<500(82.54±5.58) were lesser in comparison to those of patients with CD4 counts>500 (p<0.001). Those with an ART duration of <48 months had a lower score in comparison to those with an ART duration of >72 months (p=0.005).Most decrease from maximum value was seen in similarities (48.3 %), second recall (36.1 %), repetition (33.4 %), copying two pentagons (28.3 %), read and obey (24.0 %), mental reversal (22.7 %) and first recall (21.3%) parameters of Modified Mini Mental State Examination. CONCLUSIONS: HAND was less prevalent in the present study in comparison to past literature. CD4 counts and ART duration had an inverse association with the degree of cognitive impairment. The parameters of Modified Mini Mental State Examination showing maximum impairment may be compiled to form a short screening questionnaire.

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Meningococcal infection is an important public health concern. Neisseria meningitidis usually colonizes the nasopharynx of healthy adolescents and adults and remains as asymptomatic colonizer, while in rare cases it may present as invasive disease as either meningitis or septicemia or both. Most of the cases have typical presentation of rashes. We hereby present a case of a 40-year-old male who presented with meningococcal meningitis and peripheral digital gangrene but without development of typical rashes. He improved by early institution of appropriate intravenous antibiotics with supportive care.

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Acute methanol intoxication is not an unusual poisoning. It can have serious neurological sequelae. We emphasize how neuroimaging can help in distinguishing methanol poisoning from other causes of acute unconsciousness in alcoholic patients such as hypoglycemic brain damage and carbon monoxide poisoning or head injury, which are frequently observed in alcoholic patients and are also responsible for altered sensorium. The most important findings in MR brain imaging in methanol poisoning have been bilateral putaminal hemorrhagic necrosis. Other less common findings are subcortical and deep white matter lesions, cerebral and cerebellar cortical lesions, and midbrain lesions, cerebral and intraventricular hemorrhage, and even enhancement of necrotic lesions, we found almost the entire spectrum of MRI findings in this patient with methanol poisoning. Neurological sequelae can entail the course and prognosis in methanol poisoning. The patient died because of ventilator-associated pneumonia that developed in the course of prolonged hospitalization.

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