Your browser doesn't support javascript.
loading
Mostrar: 20 | 50 | 100
Resultados 1 - 1 de 1
Filtrar
Más filtros











Base de datos
Intervalo de año de publicación
1.
Rev Sci Tech ; 35(2): 543-560, 2016 Nov.
Artículo en Inglés, Español | MEDLINE | ID: mdl-27917972

RESUMEN

This article discusses various aspects of pastoralism in the Latin American countries with the largest dryland areas. The topics covered include: social, economic and institutional issues; grasslands and their carrying capacity; production systems and productivity rates; competition for forage resources between domestic livestock and wildlife; and the health status of livestock and wildlife. Most grasslands exhibit some degree of degradation. The percentage of offspring reaching weaning age is low: 47-66% of calves and 40-80% of lambs. Some pastoralists adopt patterns of transhumance. In the main, pastoralists experience a high poverty rate and have poor access to social services. For many pastoralists, wildlife is a source of food and by-products. Argentina, Chile, Mexico and Peru have animal health control agencies, are members of the World Organisation for Animal Health (OIE) and have signed the United Nations Convention to Combat Desertification. Pastoral systems subsist mainly on income unrelated to pastoral farming. The OIE recognises all four countries as free from infection with peste des petits ruminants virus, and from rinderpest and African horse sickness. It is difficult to predict the future of pastoralism in Latin America because the situation differs from country to country. For instance, pastoralism is more important in Peru than in Argentina, where it is a more marginal activity. In the future, lack of promotion and protection policies could lead to a decline in pastoralism or to an adverse environmental impact on drylands.


Les auteurs abordent les particularités du pastoralisme dans les quatre pays d'Amérique latine dotés des plus vastes étendues de terres arides du souscontinent ; ils examinent notamment les aspects sociaux, économiques et institutionnels du pastoralisme, les pâtures et leur capacité de charge, les systèmes de production et les indices de productivité, la concurrence entre le bétail et les animaux sauvages pour le prélèvement de fourrage et le statut sanitaire respectif des animaux d'élevage et de la faune sauvage. Les prairies dédiées au pastoralisme présentent dans leur majorité un certain degré de dégradation. Le taux de survie au sevrage fluctue entre 47 % et 66 % pour les veaux et entre 40 % et 80 % pour les agneaux. Certains pasteurs adoptent des schémas de transhumance. Les populations pastorales se caractérisent par un niveau élevé de pauvreté et un accès très limité aux services sociaux. Pour de nombreux pasteurs, la faune sauvage constitue une ressource alimentaire directe mais elle fournit aussi des produits dérivés. En Argentine, au Chili, au Mexique et au Pérou, des services gouvernementaux sont chargés du contrôle de la santé animale. Ces pays sont Membres de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) et signataires de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification. Les systèmes pastoraux subsistent essentiellement grâce à des revenus autres que ceux issus de la production. Ces territoires ont été reconnus par l'OIE comme étant indemnes d'infection par les virus de la peste des petits ruminants, de la peste bovine et de la peste équine. Il est difficile de prédire l'avenir du pastoralisme en Amérique latine, en raison de la diversité des situations rencontrées d'un pays à l'autre. Par exemple, l'activité pastorale est plus importante au Pérou qu'en Argentine où elle a un caractère marginal. L'absence de politiques de promotion et de protection spécifiques pourrait se traduire à l'avenir par un déclin du pastoralisme ou par un impact écologique négatif pour ces zones arides.


Se abordan matices del pastoralismo relativos a los países con mayor extensión de zonas áridas de Latinoamérica, concretamente, los aspectos sociales, económicos e institucionales, los pastizales y su receptividad, los sistemas de producción e índices de productividad, la competencia entre ganado doméstico y fauna silvestre por el recurso forrajero, y el estatus sanitario del ganado y de los animales silvestres. La mayor parte de los pastizales presenta algún grado de deterioro. El porcentaje de crías que llega al destete fluctúa entre el 47% y el 66% en bovinos y entre el 40% y el 80% en ovinos. Algunos pastoralistas adoptan patrones de trashumancia. Los pastores se caracterizan básicamente por un índice alto de pobreza y un escaso acceso a los servicios sociales. La fauna es un recurso alimentario y una fuente de subproductos para numerosos pastores. Argentina, Chile, México y Perú cuentan con organismos destinados al control de la sanidad animal, son miembros de la OIE y han suscrito la Convención de las Naciones Unidas de Lucha contra la Desertificación. Los sistemas pastoriles subsisten principalmente a partir de ingresos ajenos a su producción. La OIE reconoce a estos territorios como libres de infección por peste de los pequeños rumiantes, por peste bovina y por peste equina. Es difícil predecir el futuro del pastoralismo en Latinoamérica debido a las diferentes situaciones de cada país. Así, por ejemplo, en Perú, esta práctica tiene mayor importancia que en Argentina, donde es más marginal. La carencia de políticas de promoción y protección podría conducir en el futuro a una disminución de la actividad o a un impacto ecológico negativo en las zonas áridas.


Asunto(s)
Crianza de Animales Domésticos/métodos , Clima Desértico , Crianza de Animales Domésticos/tendencias , Animales , Animales Salvajes , Argentina , Bovinos , Chile , Estado de Salud , Humanos , Ganado , México , Perú , Ovinos , Recursos Hídricos/provisión & distribución
SELECCIÓN DE REFERENCIAS
DETALLE DE LA BÚSQUEDA